Je pourrais rester assis ici en écrivant l’article et parler des effets néfastes de la consommation d’alcool sur le foie, de la glycémie, de la digestion, etc. Mais à quoi bon!? Vous connaissez tous les « dangers » d’une consommation excessive d’alcool et, à la fin, je crois à la notion d’équilibre dans la vie.
Je ne suis pas parfait et je n’essaye pas de vous convaincre de l’être aussi. Je veux tout simplement vous conseiller comment vivre d’une manière convenable en vous permettant de créer un équilibre tout en profitant de votre vie. Certaines personnes aiment prendre quelques verres la fin de semaine et, pour moi, je pense que ça peut convenir tant que vous le faites dans un cadre qui suit votre état de santé actuel. Ça signifie que si vous mangez n’importe quoi, que vous ne dormez pas assez, que vous vous entraînez trop…ce n’est peut-être la meilleure idée. Mais si vous créez beaucoup de nouvelles habitudes et de comportements sains, votre petit verre ne devrait pas vous ralentir.
En même temps, je suis TRÈS LOIN de vous encouragez à boire de l’alcool mais si vous deviez, voici un aperçu des meilleurs choix:
En tête de votre liste se trouve les alcools sans gluten: vodka, téquila ou whisky distillé, bourbon, etc;
En deuxième se trouve tous les vins biologiques sans nitrite et sans nitrate. Oui, ça existe!;
En tout dernier vient votre bière préférablement sans gluten. Pourquoi sans gluten? Principalement parce que la quasi totalité des grains sont OGM mais surtout à cause de la levure qui n’aide pas votre intestin.
Maintenant que vous avez fait votre choix, voici mes conseils:
Mangez toujours une collation légère en glucides, protéines et graisses avant de boire. Quelque chose comme du fromage, prosciutto, salami avec des fruits par exemple. Ensuite, buvez et mangez à nouveau après tout en profitant de l’occasion sociale. En consommant tranquillement de cette façon, vous aider à créer une plus grande stabilité de la glycémie;
Enfin, je vous conseille de boire un mélange qui comprend 250ml d’eau de coco, 125 ml de jus d’orange et 1/4 cuillère à café de sel de mer. Consommez-le au besoin plus tard dans la soirée avant de vous coucher. Pour en savoir plus sur ce mélange, je vous suggère de relire l’article « Tout sur la vitamine C, le sodium et le potassium ».
À votre santé!
Laurent-Olivier Galarneau D.O.
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Les informations, y compris, mais sans s'y limiter, les textes, graphiques, images et autres éléments contenus sur ce site web sont uniquement à titre informatif. Aucun élément de ce site n'est destiné à se substituer à un avis médical professionnel, à un diagnostic ou à un traitement. Demandez toujours l'avis de votre médecin ou d'un autre fournisseur de soins de santé qualifié pour toute question que vous pourriez avoir concernant un problème de santé ou un traitement. Avant d'entreprendre un nouveau régime de soins de santé, ne négligez jamais l'avis d'un professionnel de la santé ou ne tardez pas à le demander à cause de quelque chose que vous avez lu sur ce site.
Vous avez sûrement entendu quelqu’un dans votre entourage vous décrire les bienfaits de la dernière méthode pour perdre du poids rapidement. Depuis le début de l’année, j’ai remarqué que la discussion sur le régime cétogène est sur un bon nombre de lèvres.
Avant de continuer la lecture, vous pouvez vous rafraîchir la mémoire avec un article que j’ai écrit l’an dernier sur le jeûne intermittent.
Qu’est-ce que le régime cétogène? Comment on s’y prend?
Voici la base de son fonctionnement sur votre physiologie.
Essentiellement, la réduction des glucides et l'augmentation des graisses modifient le «carburant» que votre corps utilise. Votre corps commence à brûler des graisses, la seule source de carburant disponible, ce qui vous fait perdre du poids, réduit la glycémie, la résistance à l'insuline, améliore la mémoire et la santé du cerveau. Cela semble bien, non?
MAIS, il semblerait que la production réduite d’insuline et la production accrue de corps cétoniques aient un impact sur la capacité du foie à convertir l’hormone thyroïdienne inactive (T4) en hormone thyroïdienne active (T3). On sait que la génération de T3 à partir de T4 diminue pendant le jeûne et la cétogenèse. La famine et les régimes restrictifs en calories ont TOUS des symptômes associés à une fonction thyroïdienne réduite. C'est un mécanisme de survie en réponse à la famine, qui ralentit le métabolisme, conserve l'énergie et prévient le dépérissement.
Selon moi, votre physiologie ne vous ment pas.
Bien que le régime cétogène ne soit pas un régime hypocalorique, il imite l’état physiologique du jeûne, inhibe la conversion des hormones thyroïdiennes et peut entraîner une baisse du métabolisme à long terme.
Donc, je vous pose la question suivante :
Pourquoi tant de personnes souffrent-elles d'intolérance aux glucides, sucres?
Tout commence ici…une mauvaise gestion du stress. Le stress affecte non seulement la santé et le fonctionnement du tube digestif, il affaiblit la fonction thyroïdienne et la production des enzymes nécessaires pour décomposer les aliments.
Les glucides ne sont pas le problème. Le problème est l'état du corps où les glucides vont. Au fur et à mesure que vous adaptez votre corps à la consommation d’énergie par rapport aux glucides et aux lipides, l’adaptation des lipides augmente tandis que votre capacité à tolérer les glucides diminue.
Qu'est-ce que cela signifie pour vos systèmes métaboliques?
Les régimes alimentaires riches en matières grasses interfèrent avec la capacité du corps à stocker le glucose sous forme d’énergie, ce qui pèse énormément sur le système surrénal, arrête la conversion des hormones thyroïdiennes et laisse nos cellules en manque d’énergie. Les régimes alimentaires pauvres en glucides prétendent que le corps peut se fier aux sucres qu'il produit via la gluconéogenèse - une voie métabolique qui entraîne la production de glucose à partir de certaines sources non glucidiques.
Attention: La gluconéogenèse survient UNIQUEMENT pendant les périodes de jeûne, de famine ou de régimes faibles en glucides et est stimulée par plusieurs hormones (glucagon, hormone de croissance, adrénaline et cortisol).
Le stress, qu’il soit physique ou émotionnel, indique que le corps a besoin de cortisol, d’hormones de stress et d’adrénaline. Le but de cette augmentation des hormones de stress, en particulier du cortisol, est de convertir les acides aminés en glucose (gluconéogenèse). Le glucose supplémentaire aide le corps à disposer de la quantité d’énergie nécessaire pour faire face au stress.
En d’autres termes, le stress est le besoin perçu que l’organisme a besoin de sucre.
À bien y penser, c’est aussi simple que ça.
Laurent-Olivier Galarneau D.O.
Références:
Mathieson RA, Walberg JL, Gwazdauskas FC, Hinkle DE, and Gregg JM. The effect of varying carbohydrate content of a very-low-caloric diet on resting metabolic rate and thyroid hormones. Metabolism. 1986. 35(5):394-398.
Höhn S, Dozières-Puyravel B, Auvin S. History of dietary treatment: Guelpa & Marie first report of intermittent fasting for epilepsy in 1911. Epilepsy Behav. 2019 May;94:277-280.
Gershuni VM, Yan SL, Medici V. Nutritional Ketosis for Weight Management and Reversal of Metabolic Syndrome. Curr Nutr Rep. 2018 Sep;7(3):97-106.
R. Josh, R. Jeanne. Adapted from related article topic on IG
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Vous avez sûrement remarqué que, durant les mois d’été, vous vous sentez avec plus de vitalité, plus d’énergie et parfois avec un sommeil plus récupérateur.
Évidemment, il y a une raison pour tout ça et ce n’est pas la dépression saisonnière!
Le soleil, la lumière stimule une enzyme dans nos cellules qui produit plus de CO2 (énergie). L’été est la meilleur saison pour soigner son métabolisme.
Pourquoi?
Parce que le soleil, la lumière augmente l’habileté de nos cellules d’utiliser le glucose pour produire de l’énergie. Cela signifie que si vous vous exposez au soleil sans nécessairement faire des réserves de glucose (muscles,foie) par votre alimentation, il manque, à un certain point, un morceau au casse-tête.
C’est pour ça que vous devez équilibrer votre glycémie EN PREMIER. C’est la base pour permettre aux réactions physiologiques de votre corps de prendre place et d’avoir lieu.
La tolérance à la chaleur
Est-ce que vous ne tolérez pas la chaleur?
Si c’est le cas, vous avez probablement:
une baisse de votre métabolisme;
vous ne mangez pas assez pour répondre à la demande quotidienne;
vous survivez sur l’adrénaline.
Quoi faire?
Utiliser la luminothérapie rouge entre 5 à 20 minutes en fin de journée spécialement durant les mois d’hiver. Exposer votre peau le plus possible;
Passer le plus de temps à l’extérieur durant les mois d’été;
Équilibrer votre glycémie en mangeant le plus possible au 3-4 heures avec des aliments qui supportent votre métabolisme et développer des habitudes qui viennent vous faire du bien à chaque (moins d’exposition au écrans, la respiration consciente, etc.)
Pour faire plus de liens avec la lecture de cet article, je vous propose de relire les articles suivants:
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Beaucoup de gens pensent que l’anxiété peut nous amener dans un état d’hyperventilation. Néanmoins, si vous lisez cette dernière phrase et que vous avez déjà eu une crise d’anxiété, ça peut effectivement être vrai.
Mais je vous écris pour vous dire que c’est complètement le contraire – en hyper ventilant, vous devenez anxieux. Ce qui veut dire que vous êtes en contrôle 100% du temps ! Ce concept est important car dans la majorité des crises d’anxiétés, vous perdez le contrôle sur votre respiration.
Le cerveau a besoin d’oxygène (O2) et de glucose pour fonctionner adéquatement. C’est pour cette raison que l’hyper ventilation, combinée à un état d’hypoglycémie, peut être un facteur déclencheur d'une crise d’anxiété. La baisse de glucose dans le sang viendra stimuler la sécrétion d’adrénaline qui, par la suite, augmentera la production de glucose puisée dans les réserves (les muscles et le foie principalement). Avec ce phénomène vient les palpitations, les sueurs et une baisse de l’amplitude respiratoire.
Une fréquence de vos repas/collation, individualisée pour vos besoins, demeure la façon efficace pour supporter les glandes surrénales en diminuant la sécrétion d’adrénaline et en stabilisant votre glycémie. J’approfondis ce sujet avec plus de détails dans mon article sur le jeûne intermittent. (Mon opinion sur le jeûne intermittent) (Mon retour sur le jeûne intermittent)
Le sensation de « manquer d’air » (dyspnée) commence quand le niveau de dioxyde de carbone (CO2) est insuffisant dans le sang. Avec ce déséquilibre, ça devient difficile pour nos cellules et notre cerveau d’utiliser l’O2. Les meilleures façons de vous assurer que vous avez un niveau suffisant de CO2 dans votre sang sont les suivantes :
· Respirer avec une bonne posture, des épaules détendues;
· Des respirations nasales car les respirations buccales gaspillent plus le CO2;
· Diminuer votre rythme respiratoire et commencer à prendre conscience au cours de votre journée. Est-ce que je contrôle ma respiration? Quand elle accélère ou ralentie, pourquoi?;
· Prenez des lentes inspirations mais assurez-vous que vos expirations soient 2x plus lentes quand vous relaxez ou méditez;
· Avec le temps, quand ça sera adéquat pour vous, commencer à retenir votre respiration spécifiquement après votre expiration. Ça vous permettra de retenir plus de CO2;
· Vous pouvez utiliser un tempo à votre respiration. Un tempo vous permet de manipuler la vitesse de votre respiration. Par exemple, vous pouvez commencer avec une respiration (2-2-2-2) (inspiration – retenir – expiration – retenir). Pour la plupart, vous pouvez entraîner votre respiration mais elle doit être individualisée. Un bon exercice de départ est la respiration (4-1-8-1). Essentiellement, c’est comme si vous respiriez dans un sac brun;
· La prévention est la clé. Donc, concentrez-vous sur les points ci-dessus et ajuster votre fréquence de repas et, avec le temps, vous devriez reprendre le contrôle sur votre anxiété.
Une respiration excessive produit une élimination de CO2 importante qui, en retour, diminue sa concentration dans le sang. Ça devient un problème car l'usage et le transfert de l’O2 provenant des muscles et des viscères/organes seront limités dans l’organisme. Pensez-y d’un point de vue d’une journée ordinaire. Le CO2 influence la libération de l’O2 dans le sang vers les tissus et les viscères/organes.
Donc, qu’est-ce ça nous dit sur notre respiration? Qu’est-ce qui est plus bénéfique, respirer par le nez ou la bouche?
Quand vous avez une bonne tolérance au CO2, que vous respirez par le nez et que vous évitez de respirer trop rapidement, vous supporterez, à ce moment là, une concentration optimale de CO2 dans le sang.
Voici un test pour évaluer votre tolérance / seuil au CO2 :
À l’aide d’un chronomètre sur une montre ou téléphone cellulaire,
· Prenez 3 à 5 respirations par le nez;
· Prenez une inspiration plus importante par le nez et quand vous commencerez à expirer, démarrez votre chronomètre;
· Expirez le plus lentement possible toujours par le nez. Le test a pour but de mesurer le temps de votre expiration….votre tolérance au CO2. Expirez jusqu’au bout, n’arrêtez pas et ne retenez pas votre respiration après l’expiration;
· Enregistrez votre temps en secondes.
Comment interpréter votre résultat? Vous trouverez si vous êtes tolérant(e) au CO2 et si vous vous oxygénez adéquatement.
· Entre 0-10 secondes : vous avez du travail à faire! Habituellement, vous respirez beaucoup trop rapidement;
· Entre 10-20 secondes : vous êtes dans la moyenne;
· 30 secondes et plus : vous avez un bon contrôle et une bonne tolérance au CO2 mais vous pourriez faire mieux;
· Entre 45-60 secondes : A+! Vous pouvez appliquer votre tolérance au CO2 durant un exercice plus intense.
En ralentissant votre respiration, en la contrôlant plus consciemment, vous permettez à votre corps de retrouver un équilibre de votre système nerveux plus facilement. Quand vous retenez votre respiration à la fin d’une expiration, vous devenez meilleur pour retenir le CO2. Ça devient valable car l’O2 devient plus facile à libérer vers nos cellules – donc plus d’énergie!
Laurent-Olivier Galarneau D.O.
Références :
Stark J., Stark R., The Cardon Dioxide Syndrome. Buteyko Online Ltd. 2002. 240 pages;
Mckeown P., The Oxygen Advantage: Simple, Scientifically Proven Breathing Techniques To Help You Become Healthier, Slimmer, Faster, Fitter. William Morrow Paperbacks. 2016. 368 pages.
R. Josh, R. Jeanne. Adapted from related article topic on IG
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Jeûne intermittent : Une approche qui consiste à alterner des périodes de jeûne et des périodes d’alimentations normales. La période de jêune peut aller jusqu’à 14-16 heures.
Exemple : Vous sautez le déjeuner et vous commencez à manger à 10h si votre dernier repas était à 18h la veille.
Donc, pourquoi je vous en parle ?
Principalement car plusieurs d’entre vous m’aviez posé la question dans les derniers mois.
Mes réponses sont simples pour plusieurs raisons :
1 - La période du sommeil
Quand vous dormez la nuit, vous ne mangez pas. Vous êtes essentiellement en période de jeûne donc pourquoi prolonger cet état ? Selon le Dr. Peat Ph.D., votre glycémie diminue la nuit et votre corps dépend de vos réserves de glucose au niveau du foie pour produire de l’énergie. Si vous avez une condition métabolique comme l’hypothyroïdie, état de fatigue chronique ou une condition de fibromyalgie, vos réserves sont limitées. Par la suite, les niveaux d’adrénaline et de cortisol s’élèveront dès le début de votre sommeil. Ces élévations peuvent être assez hautes et accompagnées d’un plafond pour l’adrénaline vers 01h-02h du matin et du cortisol aux aurores. Certaines personnes peuvent se réveiller durant la nuit avec des palpitations et/ou des changements de température et ont de la difficulté à retrouver le sommeil sans manger une collation par exemple. Bien entendu, ils existent des variations pour chaque individu.
Encore une fois, pourquoi maintenir la réponse de stress en augmentant la période de jeûne qui existe déjà ?
2 – État inflammatoire
Quand vous ne mangez pas pour une longue période de temps (5h et plus), votre corps peut initier une réaction de stress pour rencontrer la nouvelle demande de votre métabolisme.
3 – Les hormones de stress
Tels que mentionnés plus haut, les hormones de stress (adrénaline et cortisol principalement) peuvent inhiber la fonction thyroïdienne.
4 – L’immunité
Une exposition prolongée aux hormones de stress peut supprimer votre immunité à long terme.
6 – Les habitudes de vies
La plupart des gens ne mangent pas assez de « bonnes calories » et on une fréquence des repas/collations inadéquate pour la demande du quotidien. Donc pourquoi jeûner davantage pour pousser le corps encore plus dans un état de stress physiologique !?
7 – Perte de poids
La perte de poids d’un jeûne prolongé est induite par la réponse de stress du corps. Le catabolisme, qui est produit par la restriction alimentaire, créé des dommages aux niveaux des tissus. Perdre du poids à l’insu de notre métabolisme n’est jamais une bonne stratégie à long terme.
En conclusion, avec tous les points que je viens d’énumérer, je ne crois pas que le jêune en général soit une bonne idée même si vous n’avez pas de problèmes de santé. Certains diront que l’application du jeûne dans des cas spécifiques peut être bénéfique. Peut-être. Gardez toujours une vision à long terme pour votre santé. Qu’est-ce que ça va vous apportez de plus le jeûne?
À tous les jours, notre société nous pousse à certains extrêmes pour qu’on puisse performer, consommer au-delà de notre réelle capacité. Évitez de pousser votre corps vers un état chronique en adoptant des approches qui, comme le jeûne, défient votre équilibre.
Laurent-Olivier Galarneau D.O.
Références :
Peat R., Stress issues, 2012 ;
Rubin J., Rubin J., The Female Body Blue Print, Archangel Ink, 2015 ;
Marieb N. E., Hoehn N. K., Human Anatomy and Physiology, 2016, 10e édition.
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