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Les influenceurs de la pression artérielle.

Les influenceurs de la pression artérielle.

Les influenceurs de la pression artérielle

La magie du jeu

Nous associons le jeu au fait d'être un enfant. Pour lui, c'est son langage universel. Mais en tant qu'adultes, nous perdons souvent ce langage et, par conséquent, une partie de nous-mêmes.

Le jeu est reconnu comme un aspect important de la santé de nos enfants. Les enfants privés de jeu sont moins résistants, ont des difficultés relationnelles et ont des difficultés avec la régulation autonome et émotionnelle.  Le jeu façonne notre esprit, notre corps, notre âme et ne devrait pas s'arrêter à l'enfance. Les adultes qui manquent des occasions de jouer sont moins curieux, moins imaginatifs et perdent un sentiment d'engagement plus joyeux dans la vie quotidienne.

La réponse autonome au jeu est façonnée par nos expériences, notre histoire de jeu personnelle. Pour certains, cela devrait invoquer une réponse de connexion, de protection et d'animation de l’engagement social.

Mais pour d'autres, comme les survivants de traumatismes par exemple, cela évoque un sentiment de survie et de danger où tout peut être imprévisible et inattendu.

Lorsque nous sommes confus même perdus dans un état de survie, nous ne nous sentons pas suffisamment en sécurité pour baisser la garde et jouer. En conséquence, nous évitons le jeu. Le jeu est un mélange de deux états autonomes rendus possibles lorsque l’engagement social et la mobilisation solidaire font un.

Pensez à ces deux états de votre système nerveux (sympathique vs parasympathique) se tenant la main, se soutenant l'un et l'autre. Mais lorsque cette connexion entre les deux est perdue, le jeu passe de la sécurité au danger.

Jouez plus.

Votre système nerveux l'appréciera.

Laurent-Olivier Galarneau, D.O.

Références:

Panksepp, J., Biven, L. The Archaeology of Mind - Neuroevolutionary Origins of Human Emotions. W.W. Norton & Company. 2012. 592 pages

Brown, S., Vaughan, S. Play: How It Shapes the Brain, Opens the Imagination, and Invigorates the Soul. Avery. 2009. 240 pages

Milteer, R., Ginsburg, K., Mulligan, D.A. The Importance of Play in Promoting Healthy Child Development and Maintaining Strong Parent-Child Bond: Focus on Children in Poverty. Pediatrics. 2012, 129 (1) e204-e213; DOI: https://doi.org/10.1542/peds.2011-2953

Porges, S. Clinical Insights from the Polyvagal Theory - The Transformative Power of Feeling Safe. W.W. Norton & Company. 2013. 288 pages

R. Josh, R. Jeanne. Adapted from related article topic on IG

AVIS DE NON-RESPONSABILITÉ : CE SITE WEB NE FOURNIT PAS DE CONSEILS MÉDICAUX

Les informations, y compris, mais sans s'y limiter, les textes, graphiques, images et autres éléments contenus sur ce site web sont uniquement à titre informatif.  Aucun élément de ce site n'est destiné à se substituer à un avis médical professionnel, à un diagnostic ou à un traitement.  Demandez toujours l'avis de votre médecin ou d'un autre fournisseur de soins de santé qualifié pour toute question que vous pourriez avoir concernant un problème de santé ou un traitement. Avant d'entreprendre un nouveau régime de soins de santé, ne négligez jamais l'avis d'un professionnel de la santé ou ne tardez pas à le demander à cause de quelque chose que vous avez lu sur ce site.

La meilleure option pour prendre un verre d’alcool.

Je pourrais rester assis ici en écrivant l’article et parler des effets néfastes de la consommation d’alcool sur le foie, de la glycémie, de la digestion, etc. Mais à quoi bon!? Vous connaissez tous les « dangers » d’une consommation excessive d’alcool et, à la fin, je crois à la notion d’équilibre dans la vie.

Je ne suis pas parfait et je n’essaye pas de vous convaincre de l’être aussi. Je veux tout simplement vous conseiller comment vivre d’une manière convenable en vous permettant de créer un équilibre tout en profitant de votre vie. Certaines personnes aiment prendre quelques verres la fin de semaine et, pour moi, je pense que ça peut convenir tant que vous le faites dans un cadre qui suit votre état de santé actuel. Ça signifie que si vous mangez n’importe quoi, que vous ne dormez pas assez, que vous vous entraînez trop…ce n’est peut-être la meilleure idée. Mais si vous créez beaucoup de nouvelles habitudes et de comportements sains, votre petit verre ne devrait pas vous ralentir.

En même temps, je suis TRÈS LOIN de vous encouragez à boire de l’alcool mais si vous deviez, voici un aperçu des meilleurs choix:

  • En tête de votre liste se trouve les alcools sans gluten: vodka, téquila ou whisky distillé, bourbon, etc;

  • En deuxième se trouve tous les vins biologiques sans nitrite et sans nitrate. Oui, ça existe!;

  • En tout dernier vient votre bière préférablement sans gluten. Pourquoi sans gluten? Principalement parce que la quasi totalité des grains sont OGM mais surtout à cause de la levure qui n’aide pas votre intestin.

Maintenant que vous avez fait votre choix, voici mes conseils:

  • Mangez toujours une collation légère en glucides, protéines et graisses avant de boire. Quelque chose comme du fromage, prosciutto, salami avec des fruits par exemple. Ensuite, buvez et mangez à nouveau après tout en profitant de l’occasion sociale. En consommant tranquillement de cette façon, vous aider à créer une plus grande stabilité de la glycémie;

  • Enfin, je vous conseille de boire un mélange qui comprend 250ml d’eau de coco, 125 ml de jus d’orange et 1/4 cuillère à café de sel de mer. Consommez-le au besoin plus tard dans la soirée avant de vous coucher. Pour en savoir plus sur ce mélange, je vous suggère de relire l’article « Tout sur la vitamine C, le sodium et le potassium ».

À votre santé!

Laurent-Olivier Galarneau D.O.

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Mes conseils pour mieux bouger cet été.

Commencer vos exercices lentement et vérifier votre fréquence cardiaque 30 minutes APRÈS votre entrainement. Si vos battements sont toujours au-dessus de 85 BPM, un état hyper-adrénaline existe toujours et l’entrainement a été trop intense pour vous.

 

Choisissez le bon type d’exercice pour votre condition. Crossfit? Yoga? Respiration? Courir? Musculation? Cardio Plein-Air? À vous de décider!

 

Choisissez la bonne fréquence d’exercice qui va dans le sens de vos besoins et de votre état mental, émotionnel et physique. Une fréquence plus espacée dans votre semaine peut être favorable. La régularité de semaine en semaine, mois en mois est importante (1x/sem. pendant 16 semaines est mieux que 5x/sem. pendant 4 semaines).

 

Allez à l’extérieur au soleil pour vos activités.  Rechargez votre vitamine D naturellement! 

 

Lorsque vous débutez vos exercices, le sentiment de bienêtre doit être présent, et ce, dès le début. La respiration doit TOUJOURS dicter l’intensité de vos efforts. Si vous avez de la difficulté à contrôler votre rythme respiratoire, c’est que vous êtes allés trop loin. Respirer le plus possible par le nez. La respiration par la bouche active la portion sympathique du système nerveux.

 

Vos entrainements doivent être plus ANAÉROBIQUE (Courte durée. Ex : 10x squat, 10x push-ups, pause 30 sec. et répéter pendant 5 min. selon votre tolérance) vs AÉROBIQUE (Longue durée. Ex : courir pendant et au-delà de 30 min.). Votre temps d’entrainement ne doit pas dépasser 30-45 minutes. Arrêtez vos exercices lorsque votre énergie / performance commence à diminuer, et ce, peut importe votre temps d’entrainement.

 

Les meilleurs moments pour bouger sont entre 10h et 15h. Bien entendu, ces moments sont secondaires à votre propre rythme hormonal. Évidemment, ça ne s’applique pas à la majorité d’entre vous. Rappelez-vous de choisir une activité qui cadre bien avec votre quotidien. Votre activité est moins stressante quand votre corps est plus résilient.

 

Ajoutez toujours une période d’échauffement et de retour au calme. Ça peut être des respirations actives jumelées à exercices de mobilités en échauffement et des respirations plus passives avec quelques étirements pour le retour au calme.

 

Ne vous entrainez pas tard le soir. Votre habileté à maintenir un bon cycle de sommeil peut être perturber.  Écoutez votre propre rythme. N’oubliez pas que le corps peut être bien adapté à un état de fatigue. Mieux vaut attendre au lendemain et de ne compromettre pas une bonne nuit de sommeil.

 

Laurent-Olivier Galarneau D.O.

 

Références :

Selye H., The Stress of Life, McGraw-Hill Education, 1978, 544 pages.

Barnes B., Galton L., Hypothyroidism : the Unsuspected Illness, Harper Publishing, 1976, 320 pages;

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